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Des nouvelles orientations prioritaires pour le DPC

Un arrêté paru en août 2019 au Journal officiel précise les nouvelles orientations du développement professionnel continu. Pour les radiologues, il est question d’usage des produits de contraste, du risque en IRM et de l’accident hémorragique en interventionnel.

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Le 18/09/19 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:17 Lecture 1 min.

Pour les médecins spécialisés en radiologie et en imagerie médicale, trois orientations ont été retenues : l’utilisation inadaptée de produits de contraste iodés et/ou gadolinés, le risque en IRM hors risques liés à l'injection, mais aussi l’accident hémorragique en radiologie interventionnelle de patient sous traitement par anticoagulants oraux directs et antiagrégants plaquettaires. D. R.

Les autorités ont arrêté de nouvelles orientations prioritaires pour le développement professionnel continu (DPC) pour la période 2020-2022. Publiées dans le Journal officiel du 1er août 2019, elles sont applicables aux actions réalisées à partir du 1er janvier 2020. Plusieurs concernent les professionnels de l’imagerie médicale.

Trois orientations pour les radiologues

Trois orientations ont été retenues pour les médecins spécialisés en radiologie et en imagerie médicale : l’utilisation inadaptée de produits de contraste iodés et/ou gadolinés, le risque en IRM hors risques liés à l'injection et l’accident hémorragique en radiologie interventionnelle de patient sous traitement par anticoagulants oraux directs et antiagrégants plaquettaires.

La radioprotection pour les manipulateurs radio

D’autres professionnels de l’imagerie médicale ont droit à leurs nouvelles orientations. Deux concernent les médecins nucléaires : le développement en matière de médicaments radiopharmaceutiques (MRP) pour

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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20 Juin

16:00

La Société européenne de radiologie gastro-intestinale et abdominale (ESGAR) a publié des recommandations pratiques pour le diagnostic et l'évaluation de la réponse au traitement chez les patients souffrant d'une maladie de Crohn luminale. L'entéro-IRM et l'échographie sont les examens radiologiques de première ligne, tandis que le scanner peut être utile en seconde ligne ou dans l'aigu, souligne notamment l'article.

13:30

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7:30

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