Les manipulateurs radio hospitaliers étaient plus de 550, selon la police, à manifester ce 15 mars à Paris devant le ministère de la Santé, où était reçue une délégation de la CGT Union fédérale des médecins, ingénieurs, cadres et techniciens (UFMICT). Après plus de 2 ans de mobilisation, leurs revendications n’ont toujours pas trouvé écho auprès du ministère, déplore le syndicat. « Nous sommes là car rien n’avance, rien ne bouge. Nous méritons au moins la même reconnaissance que nos collègues infirmiers et nous ne l’avons toujours pas. Nous voulons juste être reconnus à notre juste valeur », témoigne Antoine Defrance, manipulateur au sein du centre hospitalier d’Abbeville (80).
« Plus personne ne veut travailler à l’hôpital public »
La CGT-UFMICT réclame notamment la « mise en place d’un ratio pour assurer des conditions de travail de bonne qualité pour les manips ». En février 2021, un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) réclamé par le ministre de la Santé, Ol
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article