Les étudiants radiologues qui font aujourd’hui leur internat côtoieront l’intelligence artificielle (IA) dès le début de leur carrière. Pour sonder leur ressenti vis-à-vis des nouveaux outils, l'Union nationale des internes en radiologie (UNIR) leur a posé une dizaine de questions. Son président, Cédi Koumako, a présenté les premiers retours, lors d’un séminaire sur l’IA organisé par la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), le 2 juin dernier. « La majorité souhaite être formée autour de cette thématique », constate-t-il.
Des craintes demeurent
Si beaucoup d'étudiants montrent un intérêt pour l’IA, ils sont aussi nombreux à penser encore qu'ils ont intérêt à se former à la radiologie interventionnelle, « là où le geste de l'homme ne pourra pas être remplacé par une machine ». Ils estiment par ailleurs que certains domaines comme la pédiatrie, l'échographie ou les urgences ne seront pas affectés par l'IA. « On pense que, dans ces secteurs, il faut forcément quelqu'un derriè
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