Le radiologue « dépisteur » pourrait-il devenir un surspécialiste de l’imagerie médicale ? C’est en tout cas ce que propose la radiologue américaine Hannah Milch, affiliée à l’université de Californie UCLA, dans la revue JACR [1].
L'imagerie au cœur du dépistage
Pour le dépistage du cancer du sein - et peut-être prochainement du cancer du poumon - l'imagerie est incontournable, observe-t-elle : « Le dépistage par imagerie est devenu une composante essentielle de la médecine préventive, qui a connu une croissance considérable ces 50 dernières années. Les radiologues sont au centre de cette pratique de santé publique - nous sommes des experts en imagerie - et pourtant nous sommes sous-représentés dans le processus décisionnel qui oriente les pratiques nationales de dépistage. »
Une discipline exigeante
Tout l’intérêt du dépistage consiste à dépister les bons patients au bon moment « afin de constater un bénéfice en termes de morbidité et de mortalité et de minimiser les dommages inutiles »,
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