L’Intelligence artificielle est plus que jamais un sujet d’actualité et de réflexion pour les acteurs de l’imagerie médicale. Mardi 4 juin, elle fut le thème directeur des premières Journées francophones de radiologie (JFR) de printemps, organisées à Nîmes sous la houlette du Conseil professionnel de la radiologie française (G4). Au programme, six tables rondes ont réuni radiologues, professionnels paramédicaux, acteurs institutionnels, industriels et patients. Il fut notamment question du développement de l’imagerie préventive avec l’IA, des outils d’IA pour la radiologie en urgence, de l’apport de l’IA pour les pathologies chroniques ou encore de son impact sur la valeur ajoutée du radiologue.
L’IA source de fantasmes et d’excès
Au terme de ces échanges orchestrés par Jean-Paul Beregi, chef du service de radiologie du CHU de Nîmes, Jean-François Meder, président de la Société française de radiologie (SFR), n’a pas manqué de rappeler que, malgré son potentiel et ses promesses, l’intelli
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