Un peu plus d’un an après la mise en place de la réforme des produits de contraste, l’heure est au bilan. Les cabinets et services de radiologie, qui doivent désormais fournir les produits de contraste pour leurs examens de scanner et d’IRM, font le constat des transformations engendrées par cette nouvelle organisation.
Des économies à la clé
À l’origine, la réforme des produits de contraste devait permettre de faire économiser à l’assurance maladie environ 120 millions d'euros par an. Mais un an après sa mise en place, la somme reste à confirmer. « Nous n’avons pas les chiffres globaux, mais en tous cas, sur le plan purement médical, les bonnes indications d'injection sont parfaitement respectées par l'immense majorité des radiologues, observe Philippe Coquel, radiologue libéral et secrétaire général adjoint de la FNMR. En changeant nos techniques, au scanner et en IRM, on arrive à faire facilement des économies de produit et surtout à optimiser les examens, ce qui est bénéfique pour le
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