Lors d’une présentation au Congrès européen de radiologie (ECR 2022), le 16 juillet dernier à Vienne, en Autriche, Caro Franck, physicienne médicale au sein du département de radiologie de l’hôpital universitaire d’Anvers, en Belgique, a évoqué l’importance de la détection précoce et du diagnostic du cancer du poumon.
« Une course contre la montre »
Avec environ 1,8 million de décès estimés en 2020 le cancer du poumon demeure la principale cause de décès par cancer, selon l’étude GLOBOCAN [1], a-t-elle rappelé en introduction. Le diagnostic tardif, posé après l’apparition de symptômes, à un stade tumoral avancé, exclut tout traitement curatif. Les populations à risques ont donc tout à gagner à la mise en place d’un dépistage précoce, estime-t-elle. « Nous savons que 85 % des cancers du poumon sont causés par le tabac. Nous devons donc nous assurer que les fumeurs anciens ou actuels soient dépistées tôt », explique-t-elle.
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