Dosimétrie

Les bénéfices du DACS pour la gestion de la dose

Aux 61es Journées scientifiques de l’AFPPE, le physicien médical Nicolas Villani a défendu les avantages du DACS en matière d’optimisation des expositions et de traçabilité.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 08/08/22 à 7:00, mise à jour hier à 15:10 Lecture 3 min.

« Pour les professionnels de santé, le DACS est moins lourd que le registre manuel. C’est automatique, donc sans risque d’erreur de saisie, et une seule base de données suffit, même pour un établissement multisites », énonce Nicolas Villani (photo d'illustration). © Virginie Facquet

Lors de la première session des 61es Journées scientifiques de l’Association française du personnel paramédical d’électroradiologie (AFPPE), le 12 mai 2022, le physicien médical Nicolas Villani (CHRU de Nancy) a plaidé avec conviction pour l’utilisation du DACS. Le DACS, acronyme pour Dose archiving and communication system, recueille les données dosimétriques issues des appareils connectés et facilite leur analyse. « Le DACS permet de renforcer la sécurité des dispositifs d’imagerie, d’optimiser la dosimétrie des patients, de faire des niveaux de référence, de faciliter la traçabilité des doses, de suivre le SAR d’une IRM, etc. Enfin, tout ce qui est DICOM est exploitable avec le DACS », décrit Nicolas Villani.

Des avantages de taille sur le registre manuel

Aujourd’hui, le DACS n’est pas obligatoire, mais ses bénéfices en matière d’optimisation des expositions et de traçabilité encouragent son utilisation, affirme Nicolas Villani. Selon lui, les avantages du DACS sur le registre man

Il vous reste 76% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

François Mallordy

Journaliste rédacteur spécialisé

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

05 Sep

16:07

Les patientes atteintes de malformations artérioveineuses cérébrales non rompues avec une localisation occipitale sont plus susceptibles d’avoir des maux de tête. L’angiographie quantitative par soustraction numérique peut quantifier objectivement les changements hémodynamiques dans les maux de tête liés au MAV non rompues. (étude).

13:12

La fédération des médecins de France organise un colloque sur la place de l'IA en médecine libérale le vendredi 12 au samedi 13 septembre à Paris.

7:30

04 Sep

15:00

Dans le cancer du sein précoce, l'échographie injectée préopératoire combinée à l'injection intralymphatique de bleu de méthylène et l'administration intracutanée d'indocyanine verte pendant l'intervention chirurgicale, permet une identification précise du ganglion sentinelle et une prédiction des métastases, conclut une étude chinoise. Une approche à même de limiter le nombre de résections inutiles de ganglions, selon les chercheurs.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR