Dosimétrie

Les bénéfices du DACS pour la gestion de la dose

Aux 61es Journées scientifiques de l’AFPPE, le physicien médical Nicolas Villani a défendu les avantages du DACS en matière d’optimisation des expositions et de traçabilité.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 08/08/22 à 7:00, mise à jour le 04/10/23 à 14:34 Lecture 3 min.

« Pour les professionnels de santé, le DACS est moins lourd que le registre manuel. C’est automatique, donc sans risque d’erreur de saisie, et une seule base de données suffit, même pour un établissement multisites », énonce Nicolas Villani (photo d'illustration). © Virginie Facquet

Lors de la première session des 61es Journées scientifiques de l’Association française du personnel paramédical d’électroradiologie (AFPPE), le 12 mai 2022, le physicien médical Nicolas Villani (CHRU de Nancy) a plaidé avec conviction pour l’utilisation du DACS. Le DACS, acronyme pour Dose archiving and communication system, recueille les données dosimétriques issues des appareils connectés et facilite leur analyse. « Le DACS permet de renforcer la sécurité des dispositifs d’imagerie, d’optimiser la dosimétrie des patients, de faire des niveaux de référence, de faciliter la traçabilité des doses, de suivre le SAR d’une IRM, etc. Enfin, tout ce qui est DICOM est exploitable avec le DACS », décrit Nicolas Villani.

Des avantages de taille sur le registre manuel

Aujourd’hui, le DACS n’est pas obligatoire, mais ses bénéfices en matière d’optimisation des expositions et de traçabilité encouragent son utilisation, affirme Nicolas Villani. Selon lui, les avantages du DACS sur le registre man

Il vous reste 76% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

François Mallordy

Journaliste rédacteur spécialisé

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

06 Juin

16:30

Dans une note publiée fin mai, l'Institut Sapiens formule des recommandations pour « encadrer intelligemment » l'investissement privé dans le secteur de la radiologie, avec l'objectif de « permettre l’émergence de groupes capables de structurer l’offre de soins sur l’ensemble du territoire, y compris dans les zones sous-dotées ».

13:00

Clairity devient la première plateforme d’IA autorisée par la FDA pour prédire le risque de cancer du sein à partir d’une simple mammographie. Avec cette autorisation, la plateforme prévoit de se lancer parmi les principaux systèmes de santé d’ici 2025, « propulsant ainsi une nouvelle ère de médecine de précision dans le cancer du sein », indique un communiqué

7:50

Une méta-analyse publiée dans Radiology confirme la haute performance diagnostique de l’échographie, de la mammographie et de l’IRM mammaire pour détecter le cancer du sein associé à la grossesse. Ces examens sont efficaces chez les patientes symptomatiques enceintes ou allaitantes.
05 Juin

15:48

Une deuxième IRM a été inaugurée à l’hôpital de Draguignan (83) ce 30 mai. Yannick Neuder, ministre de la Santé et de l’Accès aux soins a aussi promis un renfort d'effectifs médicaux pour les années à venir, annonce le média Varmatin.com.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR