Imagerie au bloc

Les défis de l’implantation d’une salle hybride

Lors d’une séance thématique commune du congrès de la SFNR, Fabien Voix, président de l’AFPPE, a énuméré les différents enjeux qui entrent en ligne de compte dans l’installation du salle hybride.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 24/04/18 à 15:00, mise à jour hier à 15:21 Lecture 2 min.

Au congrès de la SFNR, Fabien Voix a listé les différentes contraintes à prendre en compte lors de l'installation d'une salle hybride. © C. F.

Le dernier congrès de la Société française de neuraoradiologie (SFNR), du 21 au 23 mars à Paris, à de nouveau invité l’Association française du personnel paramédical d'électroradiologie (AFPPE) à organiser une session commune. Parmi les thèmes abordés : les salles hybrides. Le 22 mars, Fabien Voix, président de l’association des manips, a évoqué les enjeux que soulevaient l’implantation de tels dispositifs. Ce terme de salle hybride, bien que souvent utilisé, reste assez flou. Interrogé sur ce point, Fabien Voix a tenté une définition : « Une salle hybride est une salle où l’on fait de la chirurgie et de l’imagerie dans un environnement ISO 5 », propose-t-il.

La culture de la radioprotection peine à s’imposer

Concernant la mise en place des équipements d’imagerie au bloc opératoire, l’intervenant pointe les nombreux défis à relever. Le principal est de réunir dans un même lieu un environnement de chirurgie et un environnement d’imagerie interventionnelle, en y associant différentes contr

Il vous reste 73% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

05 Sep

16:07

Les patientes atteintes de malformations artérioveineuses cérébrales non rompues avec une localisation occipitale sont plus susceptibles d’avoir des maux de tête. L’angiographie quantitative par soustraction numérique peut quantifier objectivement les changements hémodynamiques dans les maux de tête liés au MAV non rompues. (étude).

13:12

La fédération des médecins de France organise un colloque sur la place de l'IA en médecine libérale le vendredi 12 au samedi 13 septembre à Paris.

7:30

Docteur Imago

GRATUIT
VOIR