Aux Journées francophones de radiologie (JFR) 2021, Hélène Vernhet-Kovacsik, qui présidait l’événement, avait demandé au Comité interdisciplinaire de recherche et de travail sur les agents de contraste en imagerie (CIRTACI) et à d’autres groupes de la Société française de radiologie (SFR), de réfléchir à la question de l’utilisation responsable des agents de contraste au scanner et en IRM. Ces travaux ont accouché d’un guide des bonnes pratiques, dont les grandes lignes ont été présentées aux JFR 2022.
Diminuer l’usage sans altérer la prise en charge
Plusieurs constats ont motivé la rédaction de ce document, explique Alain Luciani, radiologue à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil : « Les produits de contraste sont un marqueur de la pharmacopée que l’on peut détecter dans les effluents. Leur utilisation est importante pour les patients. Il ne faut donc pas les stigmatiser au point de compromettre les prises en charge. » Par ailleurs, poursuit-il, « si l’on veut faire de la radiologie person
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