Catégorie A

Les manipulateurs hospitaliers pas toujours bien informés sur le droit d’option

Entre le 1er septembre 2017 et le 28 février 2018, 20 000 manipulateurs ont dû décider de passer ou non en catégorie A de la fonction publique hospitalière. Pas simple, d’autant que certains n’auraient pas eu toutes les cartes en main.

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Le 27/03/18 à 7:00, mise à jour hier à 15:21 Lecture 3 min.

Environ 20 000 manipulateurs de la fonction publique hospitalière étaient concernés par le droit d'option (photo d'illustration). © Carla Ferrand

Les jeux sont faits. Les manips de la Fonction publique hospitalière (FPH) avaient jusqu’au 28 février 2018 pour décider de rejoindre leur nouveau corps, classé en catégorie A, ou de rester dans l’ancien, en catégorie B. Un choix lourd de conséquences : en A, ils seront mieux payés mais ne pourront prendre leur retraite qu’à partir de 60 ans au lieu de 57 ans. Ils perdront aussi l’atténuation de décote qui compense la pénibilité du métier.

« L’information a été trop tardive »

Les quelque 20 000 agents concernés par ce « droit d’option » ont donc dû se gratter la tête. Des entretiens individuels et des simulations de carrières avec les services des ressources humaines des établissements devaient permettre à chacun de décider en connaissance de cause, en fonction de son profil et de ses aspirations. Mais, selon des témoignages, tous n’en auraient pas bénéficié. « Mon DRH a été incapable de me donner une simulation », critique un de nos lecteurs. « Par endroits, l’information donnée par l’a

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Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Discussion

Commenter cet article
  1. Elo Choup'sC est peu de le dire! Personnellement en détachement je n ai eu aucune information aucun courrier et en plus on m a tres mal renseigné au niveau de mes DRH de mon établissement d origine... ils sont eux meme perdu d ailleurs!
    Il y a 7 ans

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