L’Île-de-France est elle aussi un désert médical, en tout cas pour la médecine libérale. D’après les données démographiques publiées il y a quelques semaines par l’Union régionale des professionnels de santé (URPS), elle compte en effet de moins en moins de médecins libéraux spécialistes.
La radiologie moins touchée
Parmi toutes les spécialités, la radiologie est la moins mal lotie. Entre 2009 et 2017, l’effectif des radiologues libéraux franciliens a baissé de 3 % (source CARMF) contre 16 % pour le total toutes spécialités confondues. « L’ensemble des spécialités est exposé à des baisses d’effectifs : toutes constatent des pertes avec des variations importantes, les moins exposées étant les pneumologues, les radiologues et les endocrinologues avec des baisses d’effectifs inférieures à 5 % », note l’URPS. Sur la même période, l’effectif des dermatologues a baissé de 25 %, celui des gynécologues a baissé de 29 % et celui des psychiatres de 30 %.
993 radiologues
Au 1er juin 2019, l’URPS rece
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