Santé publique

L’imagerie au cœur de la stratégie nationale contre l’endométriose

Emmanuel Macron a présenté début janvier un plan national pour l’amélioration du diagnostic et de la prise en charge de l’endométriose. L’imagerie jouera un rôle important dans les travaux qui viennent de débuter dans les domaines de la recherche et de la prise en charge.

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Le 28/01/22 à 16:00, mise à jour hier à 15:09 Lecture 2 min.

Les modalités restent à définir mais l’imagerie à un rôle important dans le diagnostic et « fera partie des champs sur lesquels porteront les travaux venant tout juste de débuter », confirme la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) (photo d'illustration). © Corinne Bordonné, Alexandre Bellucci

Le président de la République, Emmanuel Macron, a présenté le 11 janvier 2022 sa stratégie nationale pour l’endométriose. Pour le gouvernement, il s’agit de « rompre l’errance du diagnostic et de la prise en charge » de cette pathologie considérée comme « un problème de société ». Trois grands axes d’actions seront mis en place, définis grâce au rapport de la gynécologue et députée européenne, Chrysoula Zacharopoulou. Le Comité national de pilotage permettra de lancer le cadre de travail. L’endométriose touche une femme sur dix, soit 2 millions de jeunes filles et femmes en France. Particulièrement invalidante sur un plan somatique, elle est source de douleurs et d’infertilité, et se caractérise par la présence de glandes ou de stroma endométrial en dehors de l’utérus.

L’amélioration des connaissances

Le premier enjeu est l’amélioration des connaissances des causes de la maladie, de ses traitements des facteurs qui la favorisent et sa prise en charge. Pour ce volet, l’objectif est de par

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Auteurs

Albane Cousin

Mots-clés

endométriose

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icon réservé aux abonnés Endométriose : l’imagerie au secours des femmes

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