Louis Boyer

« Nous rejetons unanimement diverses affirmations qui figurent dans ce document »

Dans un communiqué publié le 28 juillet, le conseil national professionnel de radiologie et imagerie médicale (G4) s'oppose aux conclusions de la mission IGAS-IGF et du rapport « charges et produits » de la CNAM. Retour point par point avec son président, Louis Boyer.

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Le 24/09/25 à 7:00 Lecture 4 min.

« Nous attendons avec beaucoup d'impatience la numérisation de la demande d'examen qui permettrait de disposer en particulier des examens déjà été réalisés et ainsi d'avoir une meilleure pertinence. » © Solenn Duplessy

Docteur Imago / La CNAM et l'IGAS ont publié cet été 2025 deux rapports sur les dépenses en radiologie. Qu'en pense le G4 ?

Louis Boyer / La radiologie conditionne très largement l'accès aux soins, leur qualité et leur sécurité. L’analyse financière des inspecteurs généraux des finances à l’origine du rapport mérite un débat contradictoire. Et nous rejetons unanimement diverses affirmations qui figurent dans ce document, et en particulier celles qui concernent l'organisation de la radiologie. Il n’est pas acceptable en particulier de contester que la radiologie est une activité clinique de soins.  

D. I. / Le rapport de l'IGAS insiste sur la rentabilité et les revenus élevés des radiologues. Que répondez-vous ?

L. B. / Chiffre d’affaires ne veut pas dire rentabilité et revenu. Pas d’amalgame entre revenus et bénéfices !! Le chiffre d’affaires sert aussi à financer le renouvellement du matériel et, en radiologie, plus largement  des frais qui sont importants. Il faut  prendre en compte la

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Solenn Duplessy

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Mots-clés

pertinence finances rapport IGAS

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icon réservé aux abonnés Les radiologues contre le rapport de l’IGAS

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