Témoignages

Quelles pratiques pour les radiologues en téléradiologie ?

La plupart des centres qui assurent la permanence des soins ont recours à la téléradiologie, le plus souvent externe. Pour les radiologues, les sociétés offrent des conditions de travail plus flexibles et confortables que les gardes de nuit aux urgences.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 05/02/25 à 7:00, mise à jour le 06/02/25 à 13:10 Lecture 3 min.

Sur 284 centres participant à une enquête nationale sur la permanence des soins et la téléradiologie, 69 % disent avoir recours à la téléradiologie externe et 4 % utilisent la téléradiologie interne (photo d'illustration). Image générée par intelligence artificielle Adobe Firefly

Sur 284 centres participant à une enquête nationale sur la permanence des soins et la téléradiologie initiée par Guillaume Herpe, radiologue au CHU de Poitiers (86), 69 % disent avoir recours à la téléradiologie externe et 4 % utilisent la téléradiologie interne. « En dehors des hôpitaux universitaires, la plupart des centres de radiologie en France n’ont plus de radiologues sur place en dehors des heures de travail », résume cette étude. À Poitiers, plusieurs centres périphériques du groupement hospitalier territorial (GHT) de la Vienne, qui inclut le CHU, s’appuient sur des services de téléradiologie privés pour assurer sa permanence des soins, informe Guillaume Herpe. En parallèle, une activité interne de téléradiologie est également assurée au centre de Montmorillon, au sud de Poitiers, avec un faible volume d’interprétations de scanners. Si Guillaume Herpe considère qu’un radiologue présent physiquement reste idéal pour la sécurité des patients, plusieurs contraintes rendent les

Il vous reste 76% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Solenn Duplessy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

12 Juin

16:00

Une approche basée sur l’IA améliore la détection des lésions mammaires incidentes significatives sur les scanners thoraciques, indique une étude. Malgré une hausse des faux positifs, le tri automatisé a permis de réduire de 97,3 % les examens à relire par rapport à une approche hypothétique de double lecture complète.  

13:30

Une étude publiée dans Radiology a démontré que le triage par intelligence artificielle basée sur l'image permettrait d'adapter en temps réel les protocoles d'IRM mammaire. Cette technique a permis de réduire les temps de balayage simulés tout en maintenant les performances de diagnostic.

7:30

Les radiologues qui n’ont pas trouvé d’anomalie sont considérés comme plus coupables lorsqu’ils ont utilisé un système d’IA qui a détecté l’anomalie, indique une étude. Toutefois, fournir des données sur les erreurs possibles de l’IA réduit cette perception de culpabilité.
11 Juin

16:10

Une étude rétrospective menée sur 166 patients atteints d’hémorragie sous-arachnoïdienne due à une rupture d’anévrismes intracrâniens, a évalué l’impact cumulatif des stratégies de réduction de la dose de rayonnement en milieu hospitalier. En comparant deux périodes, les chercheurs ont constaté une diminution significative des doses cumulées de rayonnement et des doses efficaces après l’implémentation de ces stratégies.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR