Radiologue, manipulateur, patient… La communication entre ces trois protagonistes, entre soignants et soignés, fut le thème de plusieurs sessions du Congrès européen de radiologie (ECR), qui s’est tenu à Vienne du 28 février au 4 mars. L’une d’entre elle, le 3 mars, a confronté les points de vue de représentants des trois parties.
« Il faut s’assurer que les radiologues ont les compétences »
Côté soignés, Erik Briers, ancien patient en cancérologie, cible trois axes d’amélioration pour garantir une communication efficace : visibilité, accessibilité, flexibilité. « Le radiologue doit-il être plus visible au sein de l’équipe soignante ? », s’interroge-t-il. « Doit-il devenir plus accessible pour les patients ? Doit-il être plus flexible et se positionner en leader dans le domaine de la prévention ou de la prise en charge des maladies chroniques ? », Si tel est le cas, poursuit-il, « il faut s’assurer que les radiologues possèdent les compétences et les outils nécessaires pour ces interacti
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