L’une des premières sessions des JFR 2020, vendredi 2 octobre, s’est intéressée aux enjeux de la médecine prédictive dans la prise en charge des maladies neurodégénératives et au rôle de l’intelligence artificielle dans ce domaine. Premier intervenant, Charles Guttman, chercheur au Brigham & Women hospital de Boston, aux États-Unis, a évoqué le cas de la sclérose en plaques (SCP). « La SCP est une maladie complexe et hétérogène, rappelle-t-il. Les lésions apparaissent et rétrécissent. Il y a beaucoup de dynamique. La distribution dans le temps et l’espace est très variable entre les patients »
L’IRM joue un rôle central pour la sclérose en plaques
La SPC a des origines à la fois génétiques, mais aussi environnementales. « Ces facteurs provoquent une inflammation, une démyélinisation, une perte axonale. La symptomatologie est en relation avec ces processus pathologiques de façon non linéaire, qui est modulée par la localisation des lésions », décrit Charles Guttman. L’IRM joue un rôle cen
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