Pourquoi pas le scanner plutôt que la radiographie pour certaines urgences ? Le service d’imagerie du CHU de Nîmes a fait ce pari et fait passer des scanners ultra basse dose (UBD) aux patients adultes adressés pour des douleurs thoraciques ou des recherches de fractures. Aymeric Hamard, radiologue, a présenté les modalités et les avantages de ce dispositif aux Journées francophones de radiologie 2019.
Les limites de la radiographie
« Nous proposons le scanner pour les examens du thorax, du bassin, du rachis, des extrémités et des genoux », énumère-t-il. Une option motivée en partie par les faiblesses de la radiographie dans certaines situations : « Elle fait preuve d’une sensibilité limitée chez les patients douloureux, qui sont difficilement immobilisables. Souvent, il faut répéter les clichés », explique Aymeric Hamard. Le recours au scanner augmente en pathologie traumatique, à la fois pour le diagnostic et pour la classification lésionnelle, ajoute-t-il.
Des doses comparables
La dose
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