Point de vue

« La protection des données est un défi pour les cabinets médicaux »

Le règlement général sur la protection des données est en vigueur depuis le 25 mai 2018. Christian Fortel, président de l’union régionale FNMR Île-de-France, rappelle que les radiologues ne doivent pas négliger ses dispositions, sous peine de sanctions.

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Le 22/05/19 à 15:00, mise à jour hier à 14:18 Lecture 1 min.

Depuis le 25 mai 2018, toutes les structures qui utilisent des données de santé sont soumises au règlement général de protection des données (RGPD).

« Depuis le 25 mai 2018, toutes les structures qui utilisent des données de santé sont soumises au règlement général de protection des données (RGPD). Les cabinets d’imagerie médicale sont donc évidemment concernés. Pendant deux ans, c’est une phase de mise en route, avec contrôles possibles de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL). C’est un travail assez contraignant, qui nécessite une mise à jour régulière. En pratique, il faut désigner une personne responsable des données, dont le nom sera transmis à la CNIL. Cela peut être quelqu’un en interne ou un prestataire. Cette personne de référence sera chargée de recenser tous les postes utilisant des données personnelles et d’établir un registre qui permettra la traçabilité et justifiera l’action du radiologue en cas de contrôle. Le patient garde un droit de regard sur ses données personnelles : il peut demander à y avoir accès, à les effacer ou les modifier. D’ailleurs, il existe une obligation légale de faire savoir to

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Sihem Boultif

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