Éditorial

Radiologues nouvelle formule : bienvenue !

Le lancement de Docteur Imago en 2017 a précédé de quelques mois la réforme du troisième cycle des études médicales et la mise en place d’une nouvelle maquette du diplôme d’études spécialisées (DES) en radiologie et imagerie médicale. À cette occasion, nous nous étions donné rendez-vous cinq ans plus tard pour tirer un premier bilan,

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Le 30/01/23 à 16:00, mise à jour le 02/10/23 à 13:48 Lecture 2 min.

Les internes en radiologie et imagerie médicale bénéficient d’une formation plus encadrée et mieux suivie, avec des objectifs pédagogiques, des cours adaptés et accessibles, et un compagnonnage toujours présent sur les lieux de stage. © Carla Ferrand

Le lancement de Docteur Imago en 2017 a précédé de quelques mois la réforme du troisième cycle des études médicales et la mise en place d’une nouvelle maquette du diplôme d’études spécialisées (DES) en radiologie et imagerie médicale. À cette occasion, nous nous étions donné rendez-vous cinq ans plus tard pour tirer un premier bilan, à l’occasion de la sortie de la première promotion de jeunes radiologues « nouvelle formule ». Ces jeunes confrères sont donc officiellement sortis début novembre 2022. Et les témoignages que nous avons recueillis s’accordent à dire que la réforme a tenu ses promesses.

Des objectifs atteints dans l'ensemble

Pour le comprendre, il faut revenir en mai 2017. Le ministère de la Santé avait alors communiqué sur ce qui était attendu de la réforme du troisième cycle. Il parlait alors d’un « parcours progressif et personnalisé pour l’étudiant », d’attendus pédagogiques « clarifiés », d’une offre de stage « enrichie », plus souple dans les autres régions et d’une org

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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13:17

Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.

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