Que dire à un patient chez qui vous découvrez un anévrisme intracrânien (AIC) ? Voici la question à laquelle a tenté de répondre Jildaz Caroff. Ce neuroradiologue interventionnel de l’hôpital Bicêtre AP-HP et trésorier de la Société française de neuroradiologie est intervenu le 8 octobre lors d’une session des Journées francophones de radiologie à Paris. « C’est une pathologie fréquente. En moyenne, sur vos vacations, vous devriez en rencontrer environ un par semaine. » C’est une source de grande anxiété pour les patients, « mais ce n’est pas si difficile que cela à gérer en phase initiale, même pour un non-spécialiste ».
Désamorcer la situation
Le neuroradiologue relate le cas d’un patient qui lui a été adressé par le SAMU après qu’un radiologue de ville a découvert un AIC. « Quand on trouve un anévrisme, c’est assez facile à gérer. Il ne faut surtout pas l’ignorer et le mettre en petit au milieu du compte rendu. » Jildaz Caroff estime qu’un dialogue de quelques minutes avec le patient
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