JFR 2025

La contribution de l’imagerie dans le diagnostic de l’artérite à cellules géantes

Les Journées françaises de radiologie 2025 mettaient en lumière l’artérite à cellules géantes (ACG), une maladie rare qui requiert une prise en charge urgente. Pour le diagnostic, l'IRM montre des atouts en termes de sensibilité et de spécificité.

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Le 14/10/25 à 15:00 Lecture 3 min.

Le 6 octobre, une session des JFR faisait un focus sur la place de l'imagerie dans la prise en charge des troubles visuels des patients âgés. C. F.

Le 6 octobre, une session des JFR faisait un focus sur la place de l'imagerie dans la prise en charge des troubles visuels des patients âgés. Dans ce domaine, le diagnostic de l’artérite à cellules géantes (ACG) - ou maladie de Horton - revêt une importance capitale. « Il faut savoir reconnaître l’urgence diagnostique et thérapeutique de cette maladie », signale Céline Jamart, médecin interniste à l’hôpital des Quinze-Vingt à Paris.

Une maladie rare

L’ACG représente un cas pour 100 000 personnes et touche des sujets âgés (73 % des patients ont plus de 70 ans). « Les patients qui arrivent à nous sont pris en charge pour une baisse d’acuité visuelle, pour une atteinte de l’oculomotricité et pour des signes généraux isolés ou associés (céphalées, douleurs localisées, claudication de la mâchoire). Tous ces patients ont potentiellement une ACG », précise-t-elle.

Atteinte segmentaire et focale

L’ACG est une inflammation de la paroi des artères. Elle est segmentaire et focale. « 80 % des patients

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

Voir la fiche de l’auteur

Modalité d’imagerie

IRM Échographie

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