Bonnes pratiques

Le radiologue joue un rôle central pour un bon diagnostic

Le radiologue reçoit des demandes d’examens et peut les changer afin qu’elles soient conformes aux règles de bonnes pratiques. Il est donc le garant de la pertinence des examens et de la radioprotection.

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Le 17/01/17 à 16:00, mise à jour hier à 15:08 Lecture 3 min.

« Le radiologue connaît les meilleures indications des examens et a des notions de radioprotection », a rappelé Jean-Philippe Masson lors des Journées francophones de radiologie de 2016. Travail du gouvernement américain

Une des sessions des dernières Journées francophones de radiologie, en octobre 2016 s’est consacrée à la « pertinence des examens en imagerie ». Pour Jean-Philippe Masson, président de la fédération nationale des médecins radiologues (FNMR), le radiologue occupe une place centrale dans le choix du bon examen.

Se conformer au Guide du bon usage

« Le radiologue est un spécialiste de deuxième recours. On nous fait une demande d’examen et pas une prescription, rappelle-t-il en préambule. Pour cette raison, le radiologue peut changer l’examen à réaliser ou dire qu’il n’est pas utile. Ce dernier point est difficile à faire admettre à nos collègues, notamment les généralistes. » Le problème de la pertinence des demandes d’examens et de la qualité existe aussi bien dans le secteur hospitalier que dans le secteur libéral. « Rares sont les radiologues qui n’ont pas de problèmes en voyant arriver un bon de radio », assure Jean-Philippe Masson. Selon lui, une bonne demande d’examens doit contenir de

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Virginie Facquet

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