IRM

L’intérêt de l’IRM 3 T dans les pathologies prostatiques

L’IRM 3 T offre des avantages par rapport à l’IRM 1,5 T, notamment l’amélioration du rapport signal sur bruit. L’hôpital Cochin a expérimenté les apports de cette technologie dans l’exploration des pathologies de la prostate.

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Le 02/02/17 à 16:00, mise à jour hier à 15:09 Lecture 5 min.

Avec l’IRM 3 T, le signal est multiplié par 4 et le bruit par 2 par rapport à l’IRM 1,5 T (Photo d'illustration). © Carla Ferrand

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme en France. L’IRM est une modalité indiquée pour le bilan d’extension d’un cancer nouvellement diagnostiqué, en respectant un délai de 6 à 8 semaines après les biopsies. Elle est également utilisée pour la localisation d'une cible avant une seconde série de biopsies, lorsque les premières se sont révélées négatives et, de plus en plus, en première intention dès qu'une anomalie du couple toucher rectal / Prostate Specific Antigen (PSA) se présente, pour cibler spécifiquement les biopsies. Lors de l’édition 2014 des Journées françaises de radiologie, Alexandre Schull, radiologue à l'hôpital Cochin, a évoqué les apports de l’IRM de puissance 3 T dans ce suivi des pathologies de la prostate.

Un rapport signal sur bruit doublé

« Le principal intérêt de l'IRM 3 T est l'augmentation du rapport signal sur bruit, rappelle-t-il. Entre l'IRM 3 T et la 1,5 T, les déplacements chimiques, la susceptibilité magnétique, le temps de rela

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Auteurs

Virginie Facquet

Spécialité médicale

Oncologie

Modalité d’imagerie

IRM

Mots-clés

prostate 3 T

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