Dossier

L’imagerie face au coronavirus

Depuis son apparition fin 2019 dans la province chinoise du Wuhan, la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) se propage sur la planète et inquiète les populations et les autorités. Au fil des études qui paraissent presque chaque jour, le scanner s’impose comme un outil d’importance pour diagnostiquer les patients symptomatiques. Cette situation place les radiologues et les manipulateurs d’électroradiologie médicale en première ligne face à l’épidémie, avec la nécessité pour eux de bien connaître ses manifestations radiologiques, ainsi que les mesures à prendre pour éviter d’être contaminés à leur tour.

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Le 09/03/20 à 16:00, mise à jour aujourd'hui à 14:05

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

21 Nov

15:34

Des chercheurs ont examiné l’association entre la charge allostatique (AL), un indicateur de dysrégulation physiologique liée au stress, et la présence de pathologie maligne lors de biopsies mammaires guidées par imagerie. Les résultats suggèrent qu’une AL plus élevée est liée à un risque accru de pathologie maligne, ce qui pourrait guider des stratégies de dépistage personnalisées, indique une étude publiée dans JACR.

13:17

L’IRM rapide avec la reconstruction par apprentissage profond (DLR) améliore la qualité d’image et la précision diagnostique pour l’appendicite complexe par rapport à l’IRM non DLR et à la tomographie par contraste, offrant une alternative précieuse pour les patients sensibles aux radiations. (Étude).

7:09

Une étude évaluant plusieurs grands modèles de langage a montré que le modèle OpenAI o3 obtenait la meilleure précision à l’examen national japonais des techniciens en radiologie, atteignant 90 % de réussite.
20 Nov

15:06

Une étude montre que l’angioscanner coronaire à détecteur photonique, réalisée avec des doses réduites de rayonnement et de produit de contraste, offre une excellente qualité d’image et une précision diagnostique élevée, en particulier avec les reconstructions en VMI à 55 keV. Cette technique permet de détecter avec fiabilité les sténoses obstructives et les resténoses intrastent chez des patients souffrant d’une maladie coronarienne associée à l’inflammation.
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