S’il n’avait pas été radiologue, Antoine Rosset aurait été informaticien. Mais avec deux parents médecins, il n’a pas pu échapper aux lois de l’hérédité. « Après mes études de médecine à l’université de Genève, j’ai choisi la radiologie parce qu’il y avait déjà de l’informatique, raconte-t-il dans son bureau de l’hôpital de la Tour, à Meyrin, canton de Genève. L’imagerie lui a permis d’ancrer sa passion dans le concret : « Je voulais faire de l’informatique appliquée. Pour ça, la radiologie était idéale car, lorsque j’ai commencé à exercer en 2001, c’était les débuts du PACS et de l’imagerie digitale. »
Au bon endroit, au bon moment
À l’issue de ses études de radiologie, Antoine Rosset revient à sa passion première. Il part un an en Californie, terre promise de l’informatique. « J’ai obtenu une bourse pour faire de la recherche à l’université UCLA, à Los Angeles. Je n’avais pas de projet prédéfini. Je savais juste que je voulais faire de l’informatique. » Là encore, le timing est idéal :
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article