S’il est aujourd’hui un pilier de la FNMR, le principal syndicat de radiologues, Jean-Charles Leclerc était pourtant loin d’être prédestiné à l’imagerie médicale, et même à la médecine. « Ça n’a pas été évident de me tourner vers des études médicales. J’étais globalement intéressé par les matières scientifiques, mais je crois que je suis réellement devenu un bon médecin beaucoup plus tard, après mon installation, quand j’ai appris à être plus proche des patients », se souvient le secrétaire général de la FNMR, depuis les locaux parisiens du syndicat. Ainsi, dès le début du parcours de Jean-Charles Leclerc pointe la réflexion sur ce qui constitue un bon travail médical, et sur la relation au patient.
« J’ai été émerveillé par la puissance de l’imagerie »
Le jeune externe au CHU de Nancy choisit rapidement la radiologie, séduit par l’impact de l’imagerie dans le parcours des patients. « En externat j’ai fait la petite main, le brancardier, et j’ai été émerveillé par la puissance de l’image
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article