Sécurité informatique

Le strict minimum de la protection des données

D’après Christopher J. Roth, radiologue à l’université Duke, la protection des données sensibles dans les établissements de santé passe par des solutions physiques et logicielles mais aussi par l’éducation et la formation du personnel.

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Le 21/01/19 à 17:00, mise à jour aujourd'hui à 14:19 Lecture 5 min.

« Entraînez les gens, bien et souvent » pour leur inculquer les bonnes pratiques de prévention, recommande Christopher J. Roth. © J. H.

Depuis quelques années, le secteur de la santé et ses acteurs prennent conscience des risques de cyberattaques et de la nécessité de les prévenir. Au congrès de la Société nord-américaine de radiologue (RSNA), dimanche 25 novembre 2018, Christopher J. Roth, professeur de radiologie à la faculté de médecine de l’université Duke, à Durham, Caroline du nord, a présenté ce qu’il considère comme les mesures « d’hygiène minimale » que les établissements de santé devraient respecter pour assurer l’intégrité et la sécurité des données de santé.

Installer des logiciels de protection

« Pour commencer, installez des anti-malwares – de préférence payants – sur vos postes de travail et installez les mises à jour dès qu’elles sont disponibles », entame-t-il. Ces logiciels préviennent, repèrent, suppriment ou placent en quarantaine les virus, vers, chevaux de Troie, rançongiciels et autres programmes malveillants qui peuvent infecter les ordinateurs. Un bloqueur de publicité permet quant à lui de se pr

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Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

20 Nov

15:06

Une étude montre que l’angioscanner coronaire à détecteur photonique, réalisée avec des doses réduites de rayonnement et de produit de contraste, offre une excellente qualité d’image et une précision diagnostique élevée, en particulier avec les reconstructions en VMI à 55 keV. Cette technique permet de détecter avec fiabilité les sténoses obstructives et les resténoses intrastent chez des patients souffrant d’une maladie coronarienne associée à l’inflammation.

13:11

Une étude évaluant deux protocoles sur un scanner à comptage photonique : kV bas (70) et kV élevé (120) a démontré les promesses du premier protocole pour réduire la dose de radiation chez les nourrissons, avec une qualité d’image similaire à celle du protocole 120 kV, bien que des reconstructions spectrales avancées ne soient pas disponibles.

7:09

Les radiologues, hospitaliers et libéraux fédérés au sein du CNP G4, alertent sur le risque que les baisses tarifaires envisagées fassent disparaître de nombreuses structures de proximité, compromettant l’accès équitable à des soins radiologiques de qualité partout en France. Ils appellent à suspendre ces mesures, craignant notamment que cela n'engendre frein majeur à l’innovation, et se déclarent prêts à un dialogue constructif pour préserver la radiologie au service de tous.
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