Les plateaux d’imagerie mutualisés (PIMM) vont-ils sauver l’offre de soins de proximité en imagerie ? Laurent Houdart, avocat au sein du cabinet Houdart et associés, décèle en tout cas une « formidable opportunité » dans cette nouvelle forme de coopération entre médecins. Dans une conférence en ligne où intervient également Pascal Béroud, ancien président du Syndicat des radiologues hospitaliers (SRH), il invite les radiologues à « s’en saisir » [1].
Des équipements partagés et une organisation commune
Créés par la loi du 26 janvier 2016, les PIMM permettent à leurs membres, quel que soit leur secteur d’exercice, de mettre en commun leurs équipements – et donc leurs autorisations – mais aussi leurs locaux et leur personnel ou leur organisation. À cet effet, ils élaborent un projet médical commun qui doit faire l’objet d’une autorisation accordée par l’Agence régionale de santé. Cette autorisation vaut pour 5 ans renouvelables.
Un dispositif souple et attractif pour les médecins
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