Équipement lourd

Une IRM 7 T dans un CHU : l’initiative de Poitiers

En service depuis 2019, l’IRM 7 T du CHU de Poitiers partage son activité entre la recherche et la clinique. Fruit d’une collaboration entre les différents acteurs médicaux, universitaires et administratifs, financée sur fonds propres, sa mise en service a renforcé l’attractivité de l’établissement et permis de nouer des partenariats de recherche avec des acteurs français et étrangers.

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Le 26/08/25 à 7:00, mise à jour le 27/08/25 à 9:43 Lecture 21 min.

Contexte et chronologie

Les grandes régions poussent les CHU à repenser leur attractivité

L’histoire de l’initiative 7 T au CHU de Poitiers (86) est étroitement liée à la géographie sanitaire mais aussi à l’histoire administrative de notre pays. En effet, 2016 a été l’année de basculement vers les treize (grandes) régions. La Nouvelle-Aquitaine ainsi créée, trois CHU se retrouvaient dans une même entité administrative, toujours avec la même triade d’enjeux de soins, de formation et de recherche. La disparition des frontières (virtuelles) des anciennes régions a de facto posé la question de la mutualisation de ces enjeux entre les trois centres hospitalo-universitaires, avec en arrière-plan la question de leur répartition. Cette réflexion a très vite abouti à l’interrogation, puis l’inventaire des forces en présence ou à venir. Plusieurs réunions sur ces questions ont été organisées aux plus hauts niveaux concernés, à savoir la direction générale du CHU, la présidence du conseil de survei

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Auteurs

Rémy Guillevin

Chef du pôle imagerie CHU de Poitiers

Directeur de l’institut fédératif de recherche mathématiques physique science pour l’ingénieur et du numérique, université de Poitiers

Directeur du LabCom CNRS I3M

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11 Déc

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L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.

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Une étude a quantifié l'ampleur et l'évolution de l'utilisation des produits de contraste chez les bénéficiaires du programme Medicare aux États-Unis (environ 13,5 milliards de mL administrés entre 2011 et 2024). Elle montre également qu'une catégorie d'examens d'imagerie représente la majeure partie de ce volume.
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L'entreprise Agfa annonce la suppression de 145 postes en Belgique, due à l'accélération du déclin du film radiologique sur le marché mondial (communiqué).
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