À l’hôpital

La prise en charge personnalisée fait la différence en imagerie interventionnelle

À Monaco, le centre hospitalier Princesse-Grace a misé sur le relationnel et une prise en charge personnalisée pour développer son activité de radiologie interventionnelle. Pour le radiologue Philippe Brunner, cette formule lui permet d’attirer les patients extrahospitaliers et de réaliser 5 000 procédures par an.

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Le 08/02/18 à 16:00, mise à jour aujourd'hui à 14:07 Lecture 3 min.

Au Symposium de Nancy, le radiologue interventionnel Philippe Brunner a décrit en détails les particularités de l'organisation de son service monégasque. © C. F.

L’une des sessions du dernier Symposium sur le scanner volumique de Nancy (54) s’est intéressée à la gestion et à l’organisation en radiologie interventionnelle. Philippe Brunner, radiologue interventionnel au centre hospitalier Princesse-Grace, à Monaco, a présenté les particularités de la prise en charge dans son établissement.

Il faut recruter des patients extrahospitaliers

L’hôpital Princesse-Grace est un centre public de taille moyenne. « Son bassin de population compte 100 000 habitants, contre près de 2 millions pour le CHU voisin, indique Philippe Brunner. « Nous ne jouons pas à armes égales. Il faut donc trouver une place naturelle, surtout dans un contexte très concurrentiel entre le public et le privé sur la Côte d’Azur. Il faut « vendre » cette activité de radiologie interventionnelle et passer par un recrutement de patients extrahospitaliers », explique-t-il. En 2017, le service monégasque a comptabilisé 5 400 procédures interventionnelles, dont 80 % pour des patients extern

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Auteurs

Carla Ferrand

Modalité d’imagerie

Radiologie interventionnelle

Mots-clés

prise en charge organisation des soins

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