Chez les patients atteints de maladies cardiaques congénitales, l’angio-IRM a fait ses preuves pour visualiser la vascularisation aortique et pulmonaire et détecter les sténoses vasculaires et autres anomalies. Les spécialistes s’inquiètent toutefois des effets adverses potentiels des agents de contraste à base de gadolinium, qui peuvent provoquer une fibrose néphrogénique systémique chez les patients en insuffisance rénale, et laisser dans le cerveau des dépôts dont les conséquences sont mal connues.
Pour résoudre – au moins en partie – ce problème, des chercheurs de l’Institut de science cardiovasculaire de l'University College de Londres, au Royaume-Uni, ont expérimenté une approche déjà testée en neuro-imagerie, qui consiste à réduire la dose de gadolinium injectée et à compenser la perte de qualité d’image grâce à l’intelligence artificielle [1]. Leurs résultats sont parus dans la revue Journal of Magnetic Resonance Imaging [2].
Une étude prospective et rétrospective
Ils ont d’abord
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