Premiers sujets : un potimarron et un cerveau prêté par le Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Début octobre, et en marge des Journées francophones de radiologie 2021, le centre de neuro-imagerie cérébrale par résonance magnétique nucléaire NeuroSpin du commissariat à l’énergie atomique (CEA) a présenté pour la première fois des images issues de son IRM 11,7 T. Comparée à celle dont sont capables les IRM « classiques », la finesse des images saute aux yeux. « En passant de 3 T à 11,7 T, on fait un bond d’un facteur 10 en matière de rapport signal sur bruit », affirme Cécile Rabrait Lermann, qui encadre le projet, baptisé Iseult, à NeuroSpin.
Une meilleure résolution spatiale pour l’imagerie anatomique…
Converti en gains de résolution spatiale, ce supplément de signal sera exploité pour la recherche fondamentale sur l’anatomie et le fonctionnement du cerveau. Selon Cécile Rabrait Lermann, il permettra de faire un bond dans la compréhension des maladies neurodégénératives. « Ave
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