Un modèle de fondation interactif développé par la start-up française Raidium atteindrait des performances comparables à celles des radiologues dans la segmentation et l’évaluation des lésions oncologiques suivant les critères RECIST 1.1, selon une étude présentée dans la revue npj Precision Oncology [1]. L’équipe de la start-up Raidium compte notamment dans ses rangs les radiologues Paul Hérent et Léo Machado,
Un modèle « interactif »
Le modèle, baptisé ONCOPILOT, est conçu pour segmenter les lésions en 3D de façon interactive, en cliquant sur un point de l’image (mode « point »), ou en tirant une boîte de délimitation qui englobe la zone à étudier (mode « bbox »). Pour simuler la correction dynamique du contourage par les radiologues, les chercheurs ont développé une mécanique d’édition qui réalise quatre invites successives du modèle avec des points d’édition négatifs et positifs ciblant respectivement les zones sursegmentées et sous-segmentées (mode « point-edit »). ONCOPILOT est bas
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