Éditorial

Travailler ensemble

Certes, les modes et les montants des rémunérations sont différents. Certes, certains doivent assurer la permanence des soins et pas d’autres. Certes, les uns ont la nécessité de créer leur propre cadre d’exercice, quand d’autres peuvent s’appuyer sur un statut « tout fait ». Il n’est pas rare qu’on différencie – voire qu’on oppose – les radiologues

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Le 01/10/18 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:20 Lecture 1 min.

Les plateaux d’imagerie médicale mutualisés (PIMM), créés par la loi de santé de 2016, représentent un nouvel outil pour permettre aux radiologues de travailler ensemble. Ici, celui de Melun. © Carla Ferrand

Certes, les modes et les montants des rémunérations sont différents. Certes, certains doivent assurer la permanence des soins et pas d’autres. Certes, les uns ont la nécessité de créer leur propre cadre d’exercice, quand d’autres peuvent s’appuyer sur un statut « tout fait ». Il n’est pas rare qu’on différencie – voire qu’on oppose – les radiologues d’exercice libéral aux radiologues d’exercice hospitalier.

La coopération entre radiologues aux modes d'exercices différents n'est pas une utopie.

S’il était besoin de le rappeler, l’expérience du terrain le prouve : la coopération entre les radiologues aux modes d’exercice différents n’est pas une utopie. À chacun sa spécificité, à chacun ses missions. Mais moyennant « un peu » d’organisation de l’offre de soins en amont, certains compromis et beaucoup de dialogue, tout peut se faire en bonne entente, pour le bénéfice des professionnels de santé concernés, des établissements de santé et des patients.

Un nouvel outil

Les plateaux d’imagerie méd

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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20 Juin

16:00

La Société européenne de radiologie gastro-intestinale et abdominale (ESGAR) a publié des recommandations pratiques pour le diagnostic et l'évaluation de la réponse au traitement chez les patients souffrant d'une maladie de Crohn luminale. L'entéro-IRM et l'échographie sont les examens radiologiques de première ligne, tandis que le scanner peut être utile en seconde ligne ou dans l'aigu, souligne notamment l'article.

13:30

L'embolisation de l'artère méningée moyenne avec des microparticules pour prévenir la récidive des hématomes sous-duraux chroniques chez les patients déjà traités par chirurgie ne fait pas mieux que la prise en charge standard, selon une étude randomisée multicentrique française (342 patients) parue dans le JAMA. Le professeur de radiologie Laurent Spelle avait déjà indiqué dans nos colonnes des résultats préliminaires négatifs pour cette étude.

7:30

50 personnes ont participé au RI challenge avec 368 posts LinkedIn, a annoncé Mehdi Lebbadi, co-organisateur du défi dédié à mettre en avant la radiologie interventionnelle, que nous avions interrogé à ce sujet. Ces posts ont généré 19 422 « likes », et sont apparus plus de 500 000 fois à l'écran d'utilisateurs LinkedIn. « J'organise actuellement la même chose à l'échelle européenne, juste avant le congrès du CIRSE [la Société européenne de radiologie cardiovasculaire et interventionnelle, NDLR] mi-septembre. L'enthousiasme est déjà palpable », se réjouit le praticien.
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