Après l’étude américaine NLST, publiée en 2011, l’étude belgo-néerlandaise Nelson sur le dépistage du cancer du poumon a enfoncé le clou. Présentée au mois de septembre 2018 au congrès de l’Association internationale pour l’étude du cancer du poumon (International Association for the Study of Lung Cancer) à Toronto, au Canada, elle fournit de nouveaux arguments en faveur du recours au scanner basse dose, qui permettrait de diminuer la mortalité par cancer du poumon de 25 % chez les hommes et de 40 % chez les femmes parmi la population à risques.
Les experts cimentent leur position
La communauté médicale française n’a pas tardé à réagir à cette nouvelle démonstration en faveur du dépistage par scanner pour les gros fumeurs. Le sujet a alimenté les discussions lors des dernières Journées francophones de radiologie, en octobre 2018.
Dans la foulée, les 7 et 8 novembre dernier, une trentaine de spécialistes se sont réunis à Lyon pour une mise au point collégiale. « Compte tenu des résultats p
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