Un dépistage tous les trois ans suffirait pour réduire la mortalité par cancer du poumon, d’après une étude présentée le 1er mars 2019 au Congrès européen de radiologie. « La fréquence annuelle du dépistage est considérée comme une référence depuis la publication de l’étude NLST, constatent ses auteurs. Cependant, on peut se demander si l’efficacité du dépistage pourrait être optimisée en réduisant l’intensité des examens, sans amoindrir le taux de détection de cancer du poumon à un stade précoce et sans augmenter le taux de cancer de l’intervalle. »
1 248 sujets inclus
« Cette étude rétrospective s’appuie sur une cohorte prospective », indique Mario Silva, professeur de radiologie à l’université de Parme (Italie). Pour ce faire, les auteurs se sont basés sur les données de l’étude MILD (Multicentric Italian Lung Detection). Parmi les 2 303 sujets MILD qui avaient passé un scanner basse dose, 1 248 (54,2 %) étaient éligibles suivant les critères NLST (fumeurs de plus de 55 ans avec une c
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