À Agen (47), le cabinet de Florence Châ-Banus n’a pas attendu la directive de l’Autorité de sûreté nucléaire pour mettre en place un système d’assurance qualité. De façon volontaire, en 2008, il a adhéré à la démarche Labelix, pilotée par le Conseil professionnel de la radiologie française (G4). Pourquoi se lancer dans un tel processus ? « Au départ, nous avions été séduits par l’idée d’harmoniser les pratiques, de mettre en place des procédures pour avancer tous dans le même sens et faciliter le travail de tout le monde », indique Florence Châ-Banus.
Un cahier des charges fourni
La radiologue, qui a géré le processus de labellisation, a dû jongler avec le cahier des charges du référentiel. « Il y a de nombreux items. Au début, c’est un peu compliqué à mettre en place car il faut tout écrire », reconnaît-elle. Un comité de pilotage de trois personnes a formalisé ces procédures : une secrétaire, une manipulatrice et la radiologue. La rédaction s’est étalée sur plusieurs mois : « Comme nou
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