Un nouvel acronyme est récemment venu s’ajouter aux groupes de travail actifs au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Il s’agit du CANPRI, le Comité d’analyse des nouvelles techniques et pratiques médicales utilisant les rayonnements ionisants. Lancé le 8 juillet 2019, il s’est réuni pour la première fois fin août, afin de définir ses modalités de fonctionnement et ses futures méthodes de travail.
Experts et représentants des autorités de santé
L’entité compte une trentaine de personnes. « Il y a d’une part des experts des différentes sociétés savantes concernées par les rayonnements ionisants : radiologues, médecins nucléaires, radiothérapeutes, physiciens médicaux, manipulateurs radio, oncologues, radiopharmaciens, et d’autre part des représentants des différentes institutions de l’État et des agences de santé : ANSM, HAS, DGOS, DGS, INCa et IRSN », détaille Isabelle Nicoulet, responsable du bureau des expositions en milieu médical au sein de la direction des rayonnements ioni
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