Lors d'un AVC, chaque minute compte. La vitesse et la qualité de la prise en charge conditionnent la survie et l’état de santé des patients. Durant les Journées francophones de radiologie 2019, Pascale Dhote-Burger, chargée de mission auprès du ministère de la santé, a montré qu’elles influent aussi sur les coûts socio-économiques de cette pathologie. « L’AVC est la première cause de handicap acquis et de la première cause de mortalité chez la femme, explique-t-elle. Sa prévalence est proche du million et le nombre de cas augmente chez les personnes de moins de 65 ans », a-t-elle rappelé en introduction.
135 unités neurovasculaires
Dans le cadre du plan d’actions national AVC 2010-2014, le ministère a construit des « parcours de soins et de vie » pour les victimes d’AVC. La prise en charge à la phase aiguë s’organise à l’échelon régional, autour de 135 unités neurovasculaires (avec un objectif de 140). À ces dernières s’ajoutent 39 centres de neuroradiologie interventionnelle, qui pratiq
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