Ils voulaient montrer en détail l’évolution dans le temps des aspects scanographiques du COVID-19. Des chercheurs chinois et américains ont étudié les examens de scanner thoracique réalisés chez 88 patients atteints de pneumonie légère associée au coronavirus sur une période de trois semaines à partir de l’apparition des symptômes. Ils présentent leurs résultats dans la revue European Radiology [1].
Des patients atteints de pneumonie légère
Ting Liang et ses confrères ont recruté leur cohorte de façon rétrospective dans 6 hôpitaux de la province du Shaanxi, à environ 800 km au nord-ouest du Wuhan, l’épicentre de l’épidémie en Chine. Tous les patients étaient positifs au COVID-19, présentaient des symptômes cliniques d’une pneumonie légère et avaient passé un scanner « baseline » et au moins un scanner de suivi. Ils avaient bénéficié d’une prise en charge standard, notamment un traitement par antiviraux, interféron et plantes médicinales traditionnelles, et d’une oxygénation et hospitalis
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