Partout en France, les centres et services d’imagerie tentent de trouver la formule magique pour convaincre les jeunes radiologues de les rejoindre. « Nous attirons les nouvelles générations avec un encadrement correct, un gros plateau technique et un environnement pédagogique qui leur permet de se développer harmonieusement, explique Jean-Nicolas Dacher, chef du service d'imagerie médicale du CHU de Rouen (76). Nous essayons aussi de leur laisser une certaine liberté de choix. Quand ils nous disent qu’ils aimeraient bien faire telle ou telle surspécialité, nous les accompagnons. À une époque plus mandarinale, on expliquait aux gens ce qu’ils devaient faire dans la vie. Aujourd'hui, nous essayons d’accompagner les vocations plutôt que de les contrarier. »
Des horaires structurés
Pour fidéliser les jeunes radiologues, le nuancier des possibilités s’est étoffé. « Nous avons plusieurs axes de travail qui vont de la qualité du travail au matériel, en passant par l’accompagnement et les horai
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