Grâce aux informations contenues dans un scanner thoracique basse dose réalisé pour un dépistage du cancer du poumon, un système de deep learning (apprentissage profond) pourrait prédire le risque de décès lié à une pathologie cardiovasculaire à 5 ans. Telle est la conclusion d’une étude publiée dans la revue Radiology : Cardiothoracic Imaging le 15 avril.
5 000 scanners de l'étude NLST
Pour aboutir à ce résultat, le chercheur Bob D. de Vos et ses collègues des hôpitaux universitaires d’Amsterdam et d’Utrecht (Pays-Bas) ont réalisé une étude rétrospective qui a inclus 5 564 participants ayant passé un scanner basse dose dans le cadre de l’essai NLST (National Lung Screening Trial) entre août 2002 et avril 2004. Les patients ont été suivis jusqu'en décembre 2009.
Un réseau entraîné sur 6 types de calcifications
Le modèle de prédiction a été entraîné avec les données de 4 451 participants (âge médian 61 ans ; 37.9 % de femmes) puis testé avec les données de 1 113 sujets. « Le réseau d’appre
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