Les examens d’IRM cérébrale à répétition sont associés à une faible augmentation du nombre d'anomalies chromosomiques, en tout cas moindre que celle observée après des examens de scanner. C'est la conclusion d'un article publié le 3 mars dans European Radiology Experimental [1], qui compile les résultats d'une étude longitudinale menée sous l'égide du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). Ses auteurs ont analysé la fréquence des anomalies chromosomiques présentes dans les lymphocytes en métaphase chez 13 volontaires sains âgés de 27 à 40 ans, qui ont passé entre 10 et 26 IRM 3 T cérébrales en l'espace de 3 ans.
Deux fois plus des cellules endommagées en cas d’IRM répétées
Premier constat : un unique examen d’IRM 3 T n'a aucun effet significatif sur la proportion d'anomalies chromosomiques recensés dans les lymphocytes du sang périphérique, a contrario d'un examen de scanner [2]. Le tableau se complique pour les
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