Radiopédiatrie

Des niveaux de référence diagnostiques basés sur le poids établis pour les radiographies pulmonaires néonatales

Une étude publiée dans Radiography vise à établir des niveaux de référence diagnostiques basés sur le poids des nouveaux-nés subissant une radiographie thoracique mobile à l’USIN. L’exposition répétée notamment des prématurés soulève des préoccupations concernant les doses cumulatives élevées de rayonnement et le potentiel de préjudice à long terme pour la santé.

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Le 01/01/70 à 2:00, mise à jour hier à 15:27 Lecture 3 min.

Des chercheurs ont analysé les doses de rayonnement pour les radiographies mobiles à l’unité de soins intensifs néonatals afin d’établir des niveaux de référence diagnostiques basés sur le poids © Carla Ferrand

La radiographie pulmonaire est fréquemment utilisée pour examiner les troubles respiratoires néonatals, notamment « les causes sous-jacentes de la détérioration respiratoire aiguë, la mise en place des tubes et des cathéters, ainsi que les complications, dont la pneumonie, l’atélectasie ou le pneumothorax. », indique une étude irlandaise publiée dans Radiography. Pourtant, les nouveau-nés, « en raison de leur petite taille et de leur activité mitotique élevée », sont plus sensibles aux radiations que les patients adultes, précisent les auteurs. « Ces radiations les exposent donc à un risque théoriquement plus élevé d’effets stochastiques de l’exposition aux rayons X ».

Calcul des doses de rayonnement

Par conséquent, dans cette étude menée dans une grande maternité universitaire en Irlande accueillant environ 7500 naissances par an, les chercheurs ont analysé les doses de rayonnement pour les radiographies mobiles à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN) afin d’établir des niveaux de

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Solenn Duplessy

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