Cancer de la prostate

La classification PI-RADS fait sa mise à jour 2.1

Cette classification, qui a pour objectif d’améliorer le diagnostic précoce et le traitement du cancer de la prostate, a bénéficié de quelques ajustements sur certains critères d'évaluation.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 15/04/19 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:16 Lecture 1 min.

Diagramme schématique des caractéristiques des nodules dans la zone de transition et leurs scores correspondants. L'évaluation de la forme et des marges des nodules doit être effectuée sur au moins deux plans. D. R.

La version 2 de la classification PI-RADS a été mise à jour. Cette classification, qui a pour objectif d’améliorer le diagnostic précoce et le traitement du cancer de la prostate, passe, moyennant quelques modifications, à la version 2.1. Elle provient des recommandations du comité directeur du PI-RADS, qui travaille par consensus, et qui a identifié un certain nombre de problématiques, dont certaines ont été documentées dans la littérature avec des solutions potentielles proposées. La nouvelle version est publiée en accès payant dans European Urology [1] le 18 mars 2019 et en accès libre sur le site de l’ACR.

Critères à clarifier ou à ajuster

De nombreuses études ont validé la valeur de la deuxième version de la classification PI-RADS, indiquent les auteurs. Parmi les limitations et problèmes rencontrés dans la précédente version, l'accord entre observateurs était bon à modéré et un certain nombre de critères d'évaluation spécifiques ont été identifiés comme à clarifier ou à ajuster. En

Il vous reste 42% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Avatar photo

Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Bibliographie

  1. Turkbey B. et coll. : « Prostate Imaging Reporting and Data System Version 2.1: 2019 Update of Prostate Imaging Reporting and Data System Version 2. » Eur Urol. 2019. pii: S0302-2838(19)30180-0.

Discussion

2 commentaires

Commenter cet article
  1. Karine BassereauBonjour Bernard Malfroy, notre article semble ne pas vous avoir convenu et je peux tout à fait l'entendre. Nous avons sur notre site internet de l'actualité proposée sous forme d'articles plus ou moins longs. Là vous avez acheté un article qui rapporte de manière courte une mise à jour de 2019. Si vous avez des suggestions à nous proposer, n'hésitez pas à nous contacter. Bien cordialement Karine Bassereau, directrice de publication.
    Il y a 4 ans
  2. BERNARD MALFROYParce que vous appelez ça "un article" ? Et à 10 € !
    Il y a 4 ans

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

13 Août

15:00

La FDA (Food and Drug Administration) a autorisé une nouvel équipement de l'entreprise RadNet permettant aux manipulateurs radio de contrôler les scanners à distance, indique un communiqué de presse.

7:49

Mardi 29 juillet, le centre hospitalier de Langres (Haute-Marne) a réceptionné sa nouvelle IRM, indique le média jhm. Cette installation est destinée à renforcer le service d’imagerie médicale partagé par l'hôpital, la clinique de Compassion et le cabinet de radiologie local. L'IRM sera opérationnelle à la rentrée.
12 Août

15:00

L'apprentissage hybride, qui combine ressources en ligne et interactions avec des formateurs, favorise l'acquisition des connaissances théoriques, mais n'est pas adapté pour inculquer les compétences pratiques requises pour les étudiants dans le domaine médical, selon une étude présentée dans Radiography.

7:16

Une étude montre une augmentation de 244 % des examens de scanner délivrant des doses ≥50 mSv entre 2017 et 2022, particulièrement chez les patients ayant un IMC élevé. Cette hausse est liée à l'utilisation de nouveaux scanners dotés de tubes à rayons X puissants mais avec des mesures de protection insuffisantes, notamment pour les patients en surpoids et obèses.  
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR