Cancer du sein

L’assiduité au dépistage paie en terme de survie

Une étude basée sur des données suédoises suggère que l’assiduité au programme de dépistage organisé fait augmenter le taux de survie chez les femmes qui sont in fine atteintes d’un cancer du sein. Elle est présentée au congrès de la RSNA.

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Le 30/11/23 à 7:00 Lecture 1 min.

« Les femmes qui ont participé aux cinq mammographies de dépistage ont vu leur risque de mourir d'un cancer du sein diminuer de 72 % par rapport aux femmes qui n'ont participé à aucune mammographie de dépistage », constatent les auteurs de l'étude (photo d'illustration). © RSNA 2023

Une étude donne des arguments encourageants pour communiquer positivement sur le dépistage organisé du cancer du sein chez la femme. En effet, au sein de la cohorte étudiée, les femmes atteintes d’un cancer du sein ayant participé à toutes les mammographies de dépistages auxquelles elles ont été invitées présentent un taux de survie compris entre 82,7 % et 86,9 %, contre 59,1 % et 77,6 % pour celles qui n'ont participé à aucun dépistage. Cette étude est présentée lors d’une session dédiée à la mammographie du congrès de la Société-nord-américaine de radiologie (RSNA), ce 30 novembre 2023.

37 079 patientes atteintes de cancer

L’étude rétrospective s’est appuyée sur les antécédents de dépistage des femmes recueillis auprès des centres d’oncologie suédois. Des données sur ces antécédents et la survie ultérieure de 1992 à 2016 étaient disponibles pour 37 079 patientes atteintes d'un cancer du sein, chez lesquelles 4 564 décès par cancer du sein sont survenus. Les données sur l’incidence

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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12 Sep

16:00

La biopsie pulmonaire percutanée guidée par ultrasons (US-PLB) sur les patients pédiatriques serait sans rayonnement, sûre et précise d’après des chercheurs de l’hôpital de Beijing (Chine). Selon l’analyse de cohorte rétrospective menée sur 34 patients, l’US-PLB offrirait des conseils « critiques pour la prise de décision clinique ».  

13:29

Chez les patients atteints d'accident vasculaire cérébrale ischémique aigu, subissant une thrombectomie mécanique, mieux prévoir le risque de recanalisation futile serait possible grâce à deux marqueurs d'imagerie : Le scanner sans contraste et l'angioscanner. Selon l’étude parue dans Springer Nature, l’intégration d’un nomogramme grâce à ses données permettrait de faciliter la prise de décision thérapeutique.  

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11 Sep

15:00

La reconstruction compensée en mouvement améliorerait « significativement » la qualité subjectives des images en réduisant les artefacts en angioscanner coronaire (CCTA) comparée à la reconstruction standard à 78 % d'intervalle RR. Une technique qui permet, selon l'étude retrospective, une meilleur interprétabilité de l'image diagnostic chez les patients orientés pour CCTA et ce dans la plupart des fréquences cardiaques et des grands vaisseaux (moins de 1,5 mm).
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