Afin d’assurer le suivi de l’asthme sévère qui touche 3 à 5 % de l’ensemble des patients asthmatiques, une équipe de chercheurs français du CHU de Bordeaux a mis en évidence l’intérêt du signal T2 en IRM pulmonaire pour évaluer l’inflammation bronchique et distinguer les patients atteints d’asthme sévère de ceux atteints d’asthme non sévère. Les résultats de cette recherche ont été publiés dans la revue Insights into Imaging [1].
Identifier les cas les plus graves
Dans le cadre de cette étude auxiliaire à une étude prospective monocentrique réalisée entre mai 2017 et juin 2018, les chercheurs ont évalué l’intensité du signal IRM T2 dans la paroi bronchique (BrWall_T2-MIS) chez 30 patients, dont 15 étaient atteints d’asthme sévère et 15 autres présentaient une forme non sévère. « Les deux groupes étaient similaires en ce qui concerne l’indice de masse corporelle (IMC), la consommation de tabac et la durée de l’asthme », précisent les chercheurs. L’objectif était ainsi de déterminer si cet
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article