L’une des sessions du Congrès suisse de radiologie, qui s’est tenu du 10 au 12 mai à Lausanne, s’est proposé d’aider les radiologues débutants à « survivre aux gardes de nuit ». Vaste programme, auquel se sont attelés plusieurs intervenants, cas pratiques à l’appui. La première d’entre eux, Johanna Ospel, radiologue à l’hôpital universitaire de Bâle, a livré ses conseils pour la prise en charge de l’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA).
Angioscanner si non traumatique
En cas de doute sur une pathologie vasculaire sous-jacente, il faut réaliser un angioscanner si une hémorragie sous-arachnoïdienne non traumatique est soupçonnée, comme une rupture d’anévrysme, une dissection artérielle ou une HSA périmésencéphalique, explique-t-elle. En revanche, « il ne faudra pas le faire si c’est clairement une hémorragie sous-arachnoïdienne traumatique qui se présente ».
Passer le message à la neuro
Dans la prise en charge des HSA, la communication entre intervenants est primordiale. « Il est important d
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