Plus de 2 millions de personnes souffrent de la sclérose en plaques (SEP) dans le monde, dont 100000 en France. Aujourd'hui 30 mai, à l'occasion de la journée mondiale de sensibilisation à cette maladie, les chercheurs font le bilan de leurs travaux et dévoilent leurs dernières avancées.
L’IRM très sollicitée pour comprendre la SEP
En matière de recherche sur la SEP, l’IRM est un outil de référence. À Marseille, dans le cadre du programme de recherche sur les maladies neurodégénératives DHUNE, les chercheurs explorent deux nouvelles techniques à fort potentiel : l’IRM du sodium et l’ihMT. « Nous travaillons sur de nouveaux types d’images qui permettent de mieux détecter les lésions, mais surtout de mieux les caractériser », commente Jean-Philippe Ranjeva. Ce spécialiste des neurosciences est responsable du groupe « système nerveux central » au sein du laboratoire du Centre de résonance magnétique, biologique et médicale (CRMBM) de la faculté de médecine de Marseille.
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